Bonjour à tous, j’espère que vous allez  bien. Avez-vous déjà entendu parler de   stock picking ? Ce terme désigne le fait de  sélectionner les titres boursiers dans lesquels   on va investir un à un, selon plusieurs critères  précis.

Et aujourd’hui je vais vous partager mes   propres critères, ceux auxquels je suis la plus  attentive pour choisir la grande majorité de mes   actions en bourse. Et bien évidemment tout au long  de la vidéo je vais vous présenterai des exemples   d’actions que j’ai en portefeuille personnellement  et qui répondent à ces critères.

Comme toujours   bien évidemment je vous rappelle que je ne suis  pas conseillère en investissement professionnelle,   je ne fais que vous partager mes propres critères  qui sont adaptés à ma propre stratégie et à ma   propre situation.

Je vous invite donc grandement  de ne pas copier bêtement ces critères mais bien   à trouver des critères qui vous correspondent et  qui sont adaptés à votre situation. Mais si vous   m’écoutez attentivement à la fin de cette vidéo  vous aurez normalement les bases pour pouvoir   déterminer si une action vaut a priori le coup  ou pas que vous vous penchiez dessus un petit eu   plus en détails.

BON PLAN

Votre site internet dès

aujourd’hui

Nous créons votre site vitrine e-commerce avec WordPress et DIVI à un tarif moins cher et raisonnable.

Et restez bien jusque à la fin  parce que je vous partagerai un conseil bonus   extrêmement important notamment si vous êtes  débutant en bourse. Et donc c’est parti, pour   choisir mes actions en bourse je suis attentive  à 4 points : à savoir l’activité de l’entreprise,   ensuite ses finances, vient ensuite le prix de  l’action, et enfin les dividendes.

On commence   tout de suite avec le premier point qui est  l’activité de l’entreprise. Il est crucial,   et j’insiste bien sur ce point, que vous  compreniez ce que fait l’entreprise pour gagner de   l’argent et surtout l’importance de son d’activité  dans le monde d’aujourd’hui et de demain.

Il faut   que l’entreprise soit pérenne et que vous ayez  surtout de la visibilité sur son activité dans   le temps. Vous pouvez notamment vous tourner vers  des entreprises qu’on appelle des Too big to fail,   c’est-à-dire des entreprises relativement  anciennes et qui sont aujourd’hui tellement   grosses, tellement importantes que il est  quasiment impossible d’imaginer qu’elles   fassent faillite un jour.

Par exemple, est-ce que  vous vous imaginez voir des énormes groupes tels   que Coca Cola ou encore Mc Donald disparaître  d’ici 20 ans ? Vu comment les gens sont accro à   leurs produits, ça m’étonnerai grandement.

De la  même manière j’imagine mal le groupe l’Oréal qui   est tout de même le leader mondial des cosmétiques  faire un jour faillite. Et heureusement d’ailleurs   parce que vu le ravalement de façade que je  me fais pour vous, histoire d’être un minimum   présentable avant chaque vidéo, ça m’embêterai  un petit peu.

Evitez en revanche de suivre les   modes et les tendances boursières, parce que  okay vous passerez peut-être à côté de une ou   deux belles opportunités, mais surtout vous vous  protégerez du risque d’être dans une bulle qui   risque d’exploser, un petit peu comme ce qu’on  a connu dans les années 2000 avec les secteurs   des télécommunications et de l’informatique.

De  manière générale il vaut mieux se diriger vers   des actions solides vers lesquelles il n’y a pas  trop d’excitation. Le deuxième critère correspond   aux finances de la boîte. Et encore une fois  je m’intéresse avant tout à la solidité d’une   l’entreprise ce qui fait que je vais plutôt avoir  tendance à me tourner vers des capitalisations   boursières qui sont importantes, c’est-à-dire  au-delà de 500M de dollars.

Je veux investir   dans une entreprise qui peut me garantir une  croissance rentable structurelle et qui sait faire   de la marge en gros, je vais donc tout d’abord  me pencher sur son chiffre d’affaire et regarder   si ce chiffre d’affaire augmente de plusieurs  pourcents par an sur les 5 dernières années,   et il en va de même pour ce qu’on appelle le  bénéfice net par action, encore appelé BNPA.

Je vais également être vigilante au fait que  ses fonds propres, c’est-à-dire grosso modo   l’argent que l’entreprise a en banque, augmentent  d’année en année, ce qui est quand même un signe   que l’entreprise sais gérer de l’argent et garde  surtout suffisamment de liquidité pour continuer à   se développer et n’en redonne pas trop notamment  aux actionnaires.

Un point très important   également c’est la maitrise de l’endettement de la  société. A savoir qu’une dette n’est pas forcément   mauvaise, on peut totalement d’ailleurs faire  le parallèle avec un particulier qui investit   dans l’immobilier et qui souscrit un emprunt  auprès de la banque : dans ce cas-là le crédit   sert à acquérir un actif qui va vous rapporter  encore plus d’argent.

Nous créons vos ebooks, FlipBooks et couvertures 3D. Vous avez besoin d’une assistance pour relire, écrire ou corriger vos textes? Voici une séléction de nos services

RELECTURE 

https://comeup.com/service/247495/relire-attentivement-vos-textes-en-francais-et-corriger-toutes-les-fautes

MISE EN PAGE AVANCÉE DE LIVRES NUMÉRIQUES 

https://comeup.com/service/236676/faire-la-mise-en-page-de-votre-ebook-ou-lead-magnet

COUVERTURES D’EBOOKS 3D

https://comeup.com/service/251895/fournir-02-mockups-debooks-3d-ou-des-personnes-reelles-tiennent-en-main-votre-livre-ou-magazine

TOUS NOS SERVICES 

http://comeup.com/profil/natachagbandi

Profil www.lectureplus.fr

Eh bien pour une société   c’est pareil, elle peut très bien avoir recours  au crédit pour faire des investissements comme par   exemple racheter une start up qui est prometteuse,  et pour continuer du coup à porter la croissance   du groupe.

Mais cet endettement doit encore  une fois être maîtrisé et il y a un bon ratio   à garder en tête afin de s’en assurer : c’est  que le rapport dettes/fonds propres doit être   inférieur à 1, ce qui veut dire globalement que  l’entreprise a plus d’argent en banque qu’elle n’a   de dettes à rembourser.

Et si vous vous demandez  où est-ce que vous pouvez aller trouver tous les   chiffres sur la santé financière des entreprises,  je vous recommande vraiment un site internet qui   est gratuit et qui est vraiment une pépite :  ça s’appelle ZoneBourse.

Si vous n’avez jamais   entendu de ce site, d’où sortez-vous ? Il est  pas forcément hyper joli mais franchement il y   a toutes les informations dont vous avez besoin  pour connaître une entreprise de façon vraiment   macroscopique.

Il suffit juste de s’inscrire  sur le site, c’est gratuit, ce n’est absolument   pas sponsorisé ne vous en faites pas ais moi je  l’utilise à titre personnel et je pense que tuot   le monde devrait utiliser ce site-la.

Et vous avez  notamment l’onglet qui correspond aux finances   avec tous les chiffres clés et ils font même  également des projections de ces chiffres sur les   trois années à venir donc c’est très intéressant.

Si on s’intéresse aux données financières de la   société Pharmagest par exemple qui est une action  que j’ai en portefeuille et à laquelle je crois   beaucoup, on voit sur ce site notamment  que le chiffre d’affaire augmente d’année   en année et il en va de même pour le bénéfice  par action.

Et on voit que leur trésorerie est   en très bonne forme sauf bien évidemment  lorsqu’ils réalisent des investissements.   Et en l’occurrence en 2020 Pharmagest a racheté  une boîte qui s’appelle Pandalab et qui est une   sorte de WhatsApp sécurisé pour que différents  professionnels de santé puissent s’échanger de   façon totalement sécurisée et totalement cryptée  des données sur certains patients qu’ils traitent,   qu’ils prennent en charge.

Je vous en parle  en fait parce que moi-même j’utilise Pandalab   depuis quelques mois dans mon travail et je  trouve que c’est vraiment super comme principe,   ou en tout cas c’est très utile pour nous  qui échangeons beaucoup avec les médecins,   les infirmiers…etc Et en fait c’est par Pandalab  que j’ai commencé à m’intéresser à Pharmagest   et j’ai vu que Pharmagest avait de très bons  fondamentaux financiers notamment et c’est pour ça   aussi que je l’ai acheté.

Le 3eme critère c’est  le prix de l’action. Et je vais être honnête,   mon délire ce n’est absolument pas de passer ma  journée les yeux rivés sur mon écran à observer   de façon très minutieuse les cours de la bourse  et à regarder si telle action n’a pas augmenté   de 5 centimes, si telle action n’a pas baissé de à  attendre qu’une action 10 centimes pour faire des   opérations.

De un, parce que j’ai autre chose  à faire de ma vie tout simplement, et de deux   parce que, si vous n’avez jamais entendu cette  statistique très importante : 90% des particuliers   qui jouent les apprentis traders perdent de  l’argent en bourse.

Vous l’avez compris je   ne fais pas de trading, mais j’investis de façon  relativement passive et sur le long terme avec un   constat qui est tout simple en fait : personne ne  peut prédire ce que deviendra la bourse demain.

Et   moi aujourd’hui si j’achète une action, je ne suis  absolument pas capable de savoir si elle est trop   chère ou au contraire sous-évaluée par rapport à  son prix dans un mois par exemple.

Et la meilleure   stratégie d’achat pour pallier à ce problème c’est  la méthode dite DCA pour Dollar Cost Averaging.   Le principe de cette méthode il est tout simple,  c’est d’investir de petites sommes régulièrement,   par exemple tous les mois, plutôt que de mettre  en une fois tout votre argent dans l’achat d’une   action.

De cette façon, vous allez pouvoir  lisser votre prix d’achat sur la durée et par   conséquent vous allez pouvoir beaucoup mieux  maîtriser votre risque. Cependant il n’est   pas non plus inintéressant d’envisager de garder  une part de liquidités dans votre portefeuille,   que ce soit dans votre PEA ou dans votre compte  titre, pour pouvoir vous positionner rapidement en   cas de gros crack de la bourse, qui peut être vu  comme une période de soldes pendant laquelle vous   pouvez avoir des actions à prix cassé et où vous  pouvez peut-être vous permettre d’acheter un petit   peu plus que d’habitude.

Vous avez d’ailleurs  peut-être déjà entendu cette phrase : acheter   au son du canon et vendre au son du violon. Ce qui  veut dire acheter quand personne d’autre ne veut   acheter et que les cours sont donc très bas, vous  allez faire de très bonnes affaires, et vendre au   contraire quand la bourse est très haute et  que les prix s’envolent, que tout le monde   veut acheter et que c’est l’El Dorado.

Là vous  allez réaliser d’importantes plus-values. Et   c’est ce que j’ai fait personnellement au moment  du gros crack de la bourse en mars/avril 2020,   quand c’était vraiment la panique sur les marchés  et que les cours se sont vraiment cassé la figure.

Et ba moi je suis arrivée derrière et j’ai pu  vraiment acheter de nombreuses actions très   intéressantes à un prix vraiment très intéressant,  près de la moitié de leur valeur d’achat crise   donc j’étais quand même très contente, et je  suis très contente aujourd’hui quand je vois   les niveaux auxquels elles sont remontées.

Et  en parallèle du prix de l’action, vous avez   également la possibilité de baser certaines de vos  décisions d’achats sur certains ratios financiers   comme par exemple le PER encore le PEG.

On entend  par exemple souvent dire qu’un PER inférieur à sa   moyenne historique ou bien inférieur à 20 couplé à  un faible endettement, ou encore un PEG inférieur   à 1 est une bonne chose.

Je vous en parle comme  ça mais en fait personnellement je n’utilise pas   ces indicateurs. Je ne sais pas j’ai du mal avec  ça, je trouve que ce n’est pas très instantané.   Je préfère largement utiliser les outils d’aide  à la décision que j’ai à ma disposition dans mon   PEA.

Pour rappel je suis chez BforBank, c’est  là où j’ai ouvert mon PEA. J’ai un onglet qui   s’appelle Consensus quand je clique sur une action  où je vois l’avis des analystes professionnels,   qui disent si selon eux l’action est bon marché  ou pas.

Et j’ai aussi un onglet qui correspond   au Score Card et où je peux en un coup d’œil voir  si selon moi ça vaut le coup que je me penche un   petit peu plus en détails sur une action ou pas.

Et enfin mon 4ème critère concerne le dividende.   Une bonne partie de ma stratégie d’investissement  boursier est en effet basée sur la sélection   d’entreprises qui vont me verser des dividendes  de façon à me créer des revenus passifs.

Cette   stratégie ne vous surprendra pas si vous suivez  déjà Juan et Sébastien, mes deux compères de la   Money Academy expatriés à Dubaï pour des  raisons purement liées à l’ensoleillement,   bien évidemment.

Bref je vais notamment  m’intéresser à l’historique de versement des   dividendes par l’entreprise : et si je remarque  que ce dividende est versé sans interruption   depuis des dizaines d’années et que même chaque  année il a tendance à tranquillement à augmenter   au fur et à mesure du temps, je me dis que  globalement pour les années qui viennent ça sent   plutôt bon.

Et il y a un terme pour désigner ces  entreprises : ce sont les Dividendes Aristocrates,   et non pas Aristocat ça c’est autre chose. Dont  font partie notamment des entreprises comme Vinci,   LVMH ou encore Air Liquide.

Et ces dividendes que  je reçois régulièrement, je vais les réinvestir   dans l’achat de nouvelles actions qui à leur  tour vont me générer encore plus de dividendes,   et c’est comme ça mes chers amis que nous allons  conquérir le monde ! Bon j’exagère peut-être un   peu mais en tout cas c’est le fameux effet  boule de neige des intérêts composés.

Mais   quand on s’intéresse aux actions à dividendes  il faut cependant faire très attention à ce   que d’une part le rendement et d’autre part le  ratio de distribution ne soient pas trop élevés.

Le rendement correspond au montant du dividende  divisé par la valeur de l’action. Un rendement   qui est trop élevé c’est peut-être le signe que  le cours commence à baisser de façon inquiétante,   ou bien alors que le montant du dividende  augmente trop rapidement par rapport au   cours.

Et un ratio de distribution élevé signifie  que l’entreprise convertit une part importante de   ses bénéfices en dividendes, de façon à attirer  et à garder les actionnaires bien évidemment,   mais du coup ne conserve pas forcément assez  d’argent pour investir dans sa croissance et   se développer.

Personnellement quand je vois des  valeurs au-dessus de 8% de rendement ou encore 70%   de ratio de distribution, je me méfie un peu. Et  le mieux reste quand même pour moi d’investir à la   fois dans des actions qui ont un potentiel  de hausse de leur cours sur le long terme,   mais aussi dans des entreprises qui peuvent bien  gérer leur dividende parce que encore une fois   c’est un de mes objectifs : me créer des revenus  passifs avec les dividendes.

Et donc voilà pour   les 4 critères qu’il est à mes yeux essentiel  de connaître pour savoir quelles actions on va   pouvoir acheter. Donc si jamais vous êtes arrivés  à ce niveau de la vidéo et que je ne vuos ai pas   endormi avec tout mon blabla, bravo parce que  cela montre que vous êtes motivés et que vous   êtes attentifs, et pour ça je vais vous donner  un ultime conseil très important.

Il faut savoir   qu’un portefeuille boursier bien diversifié en  actions met généralement du temps et demande mine   de rien pas mal de moyens pour être construit.  Et je sais que c’est un aspect qui peut quand   même freiner pas mal de personnes chez les plus  débutants d’entre vous qui sont généralement   impatients et qui ont peu de moyens.

Sachez qu’il  existe une solution pour pallier à ce problème et   qui est cette fois-ci à l’opposé du stock picking  : j’ai nommé l’investissement en bourse via des   ETF, hashtag team Matthieu de la Money Academy  également.

Les ETF ce sont des fonds qui vont   venir investir en répliquant les performances  de certains marchés et qui vont donc être de   base diversifiés sur plusieurs dizaines voire  centaines d’actions.

Donc si jamais vous n’êtes   pas forcément hyper à l’aise avec le stock picking  et avec le fait de devoir un peu sélectionner   de façon minutieuse dans quelles entreprises  vous allez pouvoir investir, peut-être qu’à ce   moment-là les ETF c’est une bonne alternative pour  vous.

De mon côté la majorité de mon portefeuille   boursier ça reste quand mê^me des actions mais il  est vrai qu’il y a certains mois où je n’ai pas   trop envie de me prendre la tête à me dire tiens  ce mois-ci je vais acheter telle action telle   action, et qu’au final me tourner vers un ETF  c’est la solution un petit peu de facilité.

Même   si attention quand on a des ETF il y a des frais  qui sont associés donc c’est à prendre en compte   également, allez voir les vidéos de Matthieu  pour le coup il les explique très bien.

Et pour   ne vous donner que deux exemples d’ETF que j’ai  en portefeuille, il y a le Lyxor S&P500 ou encore   le Amundi MSCI World. Et si ça vous intéresse je  pourrai d’ailleurs vous faire une vidéo dédiée aux   ETF dans le futur donc n’hésitez pas à me le dire  en commentaire.

D’ailleurs de manière générale   quand il y a des sujets qui vous intéressent  n’hésitez pas à me le dire comme ça je le mets   dans un coin de ma tête et peut-être qu’un jour ça  fera un sujet de vidéo.

Sur ce, j’espère vraiment   que cette vidéo vous a plu, donc si c’est le cas  n’hésitez pas à me mettre un gros like, et surtout   à me laisser un commentaire notamment si vous  avez d’autres critères de sélection que les miens   pour choisir vos actions en bourse.

Partagez-les  avec la communauté, c’est important, ici on est   là pour s’entraider. Je vous invite également  à vous abonner à la chaîne, activer la cloche,   et moi je vous fais de gros bisous et je vous dis  à très bientôt, pour une nouvelle vidéo.

Tchao !


comeup.com/profil/natachagbandi

La boite a idees

No responses yet

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Découvrez la boîte à idées pour entreprendre.

Profitez des produits numériques en illimité. Gagnez de l'argent grâce aux produits numériques avec droit de revente. Créer ou innover votre entreprise. Des produits d'information jusqu'à la formation.